Contrairement à d’autres infections transmissibles sexuellement, l’infection par le VPH est engendrée par un virus. Les antibiotiques ne peuvent donc pas la guérir. Dans de nombreux cas, le système immunitaire élimine tout simplement le VPH moins de deux ans après sa transmission. Cependant, cela ne signifie pas qu’une personne est immunisée contre ce virus. Elle peut contracter une autre infection par le VPH à l’avenir.
Des années après la réussite d’un traitement, des verrues, des lésions précancéreuses ou un cancer peuvent réapparaître en raison d’un déclin de la réponse immunitaire. Cette situation risque de se produire au cours d’une grossesse ou d’un traitement contre le cancer, ou en cas de déficience immunitaire, comme le sida ou une infection par le VIH.
Les professionnels de la santé peuvent détruire les verrues génitales en recourant à des produits chimiques, à la chirurgie au laser ou à la cryothérapie à l’azote liquide. Ils peuvent aussi employer une crème afin de stimuler le système immunitaire, qui oppose alors une résistance au VPH. Après le traitement des verrues, il est impossible de déterminer si le VPH est toujours présent dans la peau, et combien de temps il y demeurera.
Si les résultats d’un test de Pap révèlent des signes d’anomalies cellulaires, votre médecin suggérera une colposcopie pour examiner votre col de l’utérus. S’il doit vous administrer un traitement, il vous recommandera la cryochirurgie, la chirurgie au laser ou la technique LEEP, afin d’éliminer les cellules affectées. La cryochirurgie détruit les cellules en les gelant; la chirurgie au laser élimine les cellules en les brûlant ou en les vaporisant. Enfin, la technique LEEP (technique d’excision électrochirurgicale à l’anse) extrait les cellules au moyen d’une anse diathermique.
Les professionnels de la santé peuvent recommander des tests d’imagerie et des biopsies, en la présence des signes et des symptômes d’un cancer anal. Le traitement peut englober la chirurgie au laser, la microchirurgie, la radiothérapie et (ou) la chimiothérapie.
Le traitement varie selon le stade d’évolution du cancer. Il peut inclure la chirurgie au laser, la microchirurgie, la radiothérapie et (ou) la chimiothérapie.
Les professionnels de la santé peuvent recommander des tests d’imagerie et des biopsies, en la présence des signes et des symptômes d’un cancer de la tête et du cou. Le traitement peut englober la chirurgie au laser, la microchirurgie, la radiothérapie et (ou) la chimiothérapie.
Le traitement varie selon le stade d’évolution du cancer. Il peut inclure la chirurgie au laser, la microchirurgie, la radiothérapie et (ou) la chimiothérapie.